Nom : Jasra
Prénom : Abigaël
Surnom : Luna
Age : 17 ans
Origine : Française
Apparence physique :
Une jeune femme belle, triste portant un lourd fardeau sur la conscience était assit près d'un chêne millénaire, habillée d'une magnifique robe blanche immaculée elle laissai aller sa lame sur ses poignets. Elle coupait les liens de sa vie en libérant, le fardeau trop lourd pour qu'il soit porter par les larmes salées, en fin linceul de sang coulant sur le tissu.
Ses jolis yeux bleus dévoilaient une allégresse presque trompeuse, comme si son âme se délectait de sa souffrance corporelle. La lame allait de plus en plus profond faisant couler plus de se liquide de vie. Ses bras était mutilés sur toutes leurs longueurs. Elle regarda le ciel, dans un regard de détresse, son visage était magnifique même si son teint était maladif, pale comme la rosée d'un matin d'hivers, ses cheveux long noir tombait en désordre sur ses épaules. Elle les écarta un moment puis d'un mouvement brusque m’aperçut. Elle s’enfuit alors en courant, la robe tachetée, le remord libéré.
Style vestimentaire :
Elle porte la plupart du temps des treillis militaires, noir et blanc. Ses hauts sont toujours de couleurs très clair, blanc, rose, jaune... Cela lui arrive aussi en de très rare occasion de porter une longue robe blanche ; qui quand elle l’enlève est couverte de sang séché…
Signe particulier :
Des cicatrices partout sur ses bras à peine refermée. Des boucles d’oreille noire en forme de tête de mort et une bague entièrement noire à la main droite
Caractère :
Elle est très timide et elle ne peut approcher en aucun cas une personne qu’elle ne connaît pas. Elle n’arrive pas à sortir vraiment de chez elle ou alors avec un grand effort, elle a peur des gens, de leur regard sur elle ; elle croit qu’ils la jugent et elle imagine leurs pensés se torturant encore. Elle est très renfermée et ne parle que très peu, le minimum. La solitude est sa seule amie car elle n’a jamais eut de vrais amis et ne sait pas ce que c’est. Elle ne pleure jamais bien qu’elle à toujours l’air triste, malheureuse. Elle ne sourit jamais, ne rit jamais comme si elle ne connaissait pas le bonheur, comme si elle n’avait connut qu’un malheur perpétuel. Elle aime la mort et elle à tentée plusieurs fois de mettre fin à ses jours. Les seules fois ou elle paraît bien, c’est quand elle s’automutile à l’aide d’une dague qu’elle appelle Lamelune ou quand elle écrit des histoires et des poèmes triste.
Elle aime : Son malheur, écrire, lire, faire couler son sang…
Elle n’aime pas : Les gens inconnus, la vie…
Talents : Ecriture de poème…
Famille :
Mère : Jasra Sarah : 42ans, avocate
Père : Jasra Paul : 43ans, avoué
Frères/soeurs :
Pierre : décédé à l’age de 17 ans quand Abigaël avait 15ans
Amis : aucun
Amour : aucun
Pathologie : Dépression, masochisme, paranoïa
Raison de sa venue :
Ses parents l’ont inscrit à Teikiatsu à la suite de sa quatrième tentative de suicide. Il ne pouvait plus supporter ses actes masochistes, suicidaires et son renfermement sur elle-même. Elle a suivit l’avis de ses parents sans rien dire…
Historique :
Abigaël vécut une enfance tout à fait normale jusqu’à l’age de neuf ans.
Le 8 Mars 1997 elle fut enlevée par un pédophile libéré de la prison deux jours plutôt. Pendant des semaines la police, les gens de la région la cherchèrent. Ses parents pleuraient tout le temps, et leurs relations devinrent petit à petit froide et sans vie. Quand un coup de file sonnait c’était comme si on allait annoncer qu’on avait retrouvé son cadavre mutilé, torturé à mort dans une décharge, une rivière, une poubelle…mais ça n’est jamais arrivé.
Deux mois après on enlèvement on arrêta le coupable et il avoua ou était la jeune fille. Elle fut enfin libérée après deux mois d’enfer, deux mois de perversion, deux mois d’horreur, ou elle fut violée encore et encore.
Mais la fille que les parents retrouvèrent n’était plus la même, elle ne parlait plus, et n’avait plus aucune émotion. Les années passèrent et pendant ce temps la jeune fille grandit, elle recommença à parler, mais juste le minimum. Elle vu une dizaine de psychiatre et de psychologue mais rien n’y faisait elle restait toujours enfermée sur elle-même et elle ne pouvait pas sortir dehors sans grand effort.
A l’age de treize ans elle commença ses scarifications, elle y trouva du plaisir, à se faire saigner ; C’était comme une alternative aux pleurs car pour elle les larmes salées n’arrivait pas à sortir. Au tout début c’était de petite coupure faîte aux rasoirs mais elle devinrent de plus en plus profonde quand elle acheta une dague à l’age de quatorze ans.
Sa famille dépérissait et tout le monde apprit que son grand frère était un camé…à l’age de dix-sept ans il fit une overdose et mourut. Ce fut un choc pour Abigaël et elle s’enferma de plus en plus sur elle ; c’est à la suite de cette mort tragique qu’elle commença à écrire des poème. Voilà s’en d’ailleurs un extrait.
Comme le vent sur la terre
Je suis invisible mais présent
Cette inertie de l’utopie claire
Rend l’infini dureté de mon chant
Je ne suis plus qu’une coquille vide
Mon vent brillant à finit par croupir
Chaque jour de ma vie a en pâtir
L’âme ronge le corps si perfide
Calme et serein dans mon cœur
Elle s’y évanouit comme il faut
Dur et dureté dans mon cerveau
La mort y trouve enfin son bonheur
Aujourd’hui dans le ciel je m’envolerai
Pour la beauté de ce silence embrassé
Aujourd’hui dans le ciel j’y goûterai
Car se sera la plainte d’un mourrant
Elle commença aussi à la suite de ça de tenter de mettre fin à ses jours ; après quatre tentatives ratées mais qui choquèrent ses parents. Ils décidèrent de l’envoyer à Teikiatsu ne trouvant aucun autre choix…