Tsukiyo Nanasen

Nom : Nanasen
Prénom : Tsukiyo
Surnom : Trouvez-en lui, mais elle a horreur de ça
Age : 16 ans
Origines : Japonaises

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Apparence physique : Tsukiyo est une jeune fille qui n'est pas spécialement grande. Du haut de son mètre 60, ses yeux bleu vous observent avec attention, et laissent en général flitrer ce regard sadique qui fait froid dans le dos. De même, son sourire éclaire assez peu son visage bien qu'elle ne le quitte jamais ou presque. Il accompagne la lueur de ses yeux et donne lui aussi des frissons. Hormis ces traits quelques peu particuliers, la jeune fille n'est pas extraordinaire. Elle a des belles formes qu'elles ne cache pas mais qu'elle ne met pas non plus en valeur. En revacnche, elle est très athlétique et malgré sa fine ossature qu'il lui donne cet air de poupée, mieux vaut éviter ses coups car elle ne maîtrise pas du tout sa force. Et de la force, elle en a!

Style vestimentaire : Tsukiyo ne met rien de moulant. Jamais. On pourrait presque dire qu'elle a ça en horreur. Tous ses vêtements sont légèrement amples, mais pas trop large. Ca non plus elle n'aime pas. La plupart du temps, elle s'habille dans des tons mauve, rouge ou noir, et il est rare de la voir porté des couleurs qui se voient de loin, et lorsque c'est le cas, c'est qu'elle est soit très fiévreuse, soit contrainte...

Signe particulier : Son dos est recouvert de fines cicatrices.

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Caractère : Tsukiyo apparait d'abord comme une jeune fille polie, aimable, très serviable mais assez peu bavarde. Elle n'aime pas parler d'elle, et n'est pas très curieuse quand il s'agit de la vie des autres. Elle se plait à entretenir un certain mystère sur son existence, et son goût pour le calme, et par extension la solitude l'aide pour cela.

Cependant, il existe aussi une Tsukiyo plus dure. Froide et imprévisible, elle n'hésite pas à être violente lorsqu'elle veut arriver à ses fins. Manipulatrice, et surtout calculatrice, elle aime tout régir et ne se laisse pas démonter. On perçoit chez elle une autorité certaine et forte, mais aussi une sensibilité exacerbée qui le rend irritable. Non pas qu'elle soit schizophrène, elle cache simplement sa véritable personnalité, plus par peur de l'admettre que par peur du regard des autres.

Aime : Faire souffrir, plus souvent psychologiquement que physiquement, les bonbons au choclat ou au caramel, ou alors les sucettes à l'orange.
Aime pas : Beaucoup de choses, presque tout ce qu'elle ne connait pas, et un certain nombre de choses qu'elle connait.
Talents : Elle est très douée en dessin et en natation

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Famille : Elle a vécut avec sa mère et sa concubine, jusqu'à ce qu'elle arrive ici. Son père est décédé, et elle est fille unique.
Amis : Aucun véritable ami
Amours : Vous voyez le néant? Et bien c'est à peu près l'étendue de ses amours...

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Pathologie : Psychopathe névrotique clinique
Raison de sa venue ici : Sa mère n'osait pas l'envoyer en hôpital psychiatrique et l'a donc convaincue de venir après quelques crises...

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Histoire : La petite fille s'avança en tremblant vers le bord du précipice. Que venait-elle donc de faire? Elle n'osait pas se le dire. Elle aurait voulu descendre, pour aller voir s'il était mort, mais elle n'osait pas, et puis elle n'y arriverait pas, elle le savait bien. Comment pouvait-elle descendre cette falaise du haut de ses 5 ans? Et remonter ensuite? C'était impossible, pourtant, elle voulait. Il fallait qu'elle sache! Et elle le su une heure plus tard.

Sa mère arriva à ce moment précis, alertée par les cris hystériques de sa fille et regarda celle-ci étrangement. On aurait dit qu'elle se doutait déjà de la triste nouvelle qui allait s'abattre sur elle. Elle approcha donc d'un pas peu assuré du bord et fixa le sol vingt mètres sous elle avec stupeur. Comment était-ce possible? Ca ne pouvait pas être vrai, c'était un cauchemar! Et pourquoi sa fille avait-elle cet étrange sourire satisfait sur les lèvres? Mon Dieu, mais que c'était-il passé?

Cinq ans plus tard, elle n'en savait toujours rien, et Tsukiyo se réveillait chaque nuit en faisant cet éternel cauchemar. C'était vrai, bel et bien vrai, elle l'avait tué. Bien qu'enfant, elle avait poussé son père du haut de la falaise, et celui-ci s'était écrasé après un cri aïgu qui ne dura que quelques secondes. Cependant, il l'avait cherché! Il avait voulu lui faire du mal, elle s'était défendu. Alors pourquoi sa mère lui en voulait-elle? Que savait-elle de ce qui s'était passé? Elle qui une fois de plus l'avait laissé seule avce lui, après tout ce qu'il lui avait fait! Pourquoi donc la fixait-elle avec horreur chaque fois qu'elle la voyait? La petite Tsukiyo d'une dizaine d'année n'en avait aucune idée, et n'y comprennait rien. Alors pour se consoler, elle allait cherché des animaux dans la forêt près de chez elle et elle les ramenait dans sa chambre, là où personne d'autre qu'elle ne mettait les pieds, la laissant ainsi seule toute la journée.

Les charmantes petites bêtes que l'enfant hébergeait passaient rarement le cap d'une journée au sein de cette grande maison perdue en pleine campagne. La gamine ne comprennait pas non plus pourquoi? Auraient-ils besoin de leur sang pour vivre, ou bien était-ce la douleur qui les faisait s'endormir? Pourquoi ne se réveillaient-ils jamais? Alors chaque nuit, elle les amenait au fond de ce grand jardins ur lequel sa porte-fenêtre donnait et elle les enterrait, parfois encore en vie, ce délectant de leur souffrance, sans co:mprendre que ce n'était pas bien. Sa mère avait pourtant essayé, vite relayer par "l'autre" comme elle l'appelait. C'était son autre maman, mais Tsukiyo n'en voulait pas, alors elle ne la nommait jamais, ne l'appelait ni mère ni maman, mais toujours "l'autre", même quand elle lui parlait.

Puis elle grandit, mais son mal ne s'arrangeait pas, loin de là. Voulant remédier à sa solitude, sa mère l'envoya à l'école, arrêtant par là même les cours par correspondance. Grosse erreur! Tsukiyo se découvrit un nouveau jeu bien plus amusant que tous les précédents: faire souffrir ces petits camarades. Cela ne dura qu'un temps car en moins d'une année, elle se retrouva au commissariat, après s'être fait renvoyée de deux écoles. Seulement, la jeune fille étant intelligente, peu à peu elle réussit à faire parvenir le doute dans l'esprit même de ses accusateurs. Le spoursuites s'arrêtèrent là, et sa mère décida de l'envoyer loin, très loin de chez elle: en France, en Bretagne. Là-bas, elle pourrait faire ce qu'elle voudrait, sa mère ne se sentirait que coupable de l'avoir laissée sans pouvoir l'aider...

(Précision utile: Tsukiyo parle courament le Japonais et le Français)