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 Elizabeth Byrne

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2 participants
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Elizabeth Byrne
Pensionnaire
Elizabeth Byrne


Nombre de messages : 8
Pathologie(s) : Aucune
Date d'inscription : 13/05/2006

Elizabeth Byrne Empty
MessageSujet: Elizabeth Byrne   Elizabeth Byrne EmptyDim 14 Mai à 14:36

Nom : Byrne
Prénom : Elizabeth
Surnom : Lizzie, Liz
Age : 26 ans
Origines : Franco-anglaises

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Apparence physique : Elizabeth est une jeune femme grande et élancée, dont les longues années de pratique de divers sports ont développé la musculature tout en lui laissant la féminité que toute femme se doit de posséder. Ses cheveux longs et naturellement roux sombre lui descendent jusqu’au creux des reins. Cette couleur se marie d’ailleurs très bien avec celle de ses yeux verts, qui tirent davantage vers le brun lors de certaines occasions, bien qu’elle n’ai jamais réussi à s’expliquer ceci de façon rationnelle. Elle mesure dans le mètre 77 pour environ 63 kilos. Ses traits sont fins, sa peau pâle, et son visage agréable à regarder. Elle dégage une certaine douceur qui cache merveilleusement son côté garçon manqué qu’elle possède depuis toute petite.

Style vestimentaire : Elle a pour habitude de porter des vêtements plus ou moins masculins, comme des chemises, noires la plupart du temps, et des cravates bordeaux. Les pantalons ont sa préférence, mais cela ne l’empêche pas de porter des robes, jupes ou tailleurs dans certaines occasions qui, fort heureusement à son avis, sont plutôt rares. En hiver, elle porte le plus souvent des bottes noires, qu’elle troque en été contre des petites baskets en toile dans des tons plus clairs.

Signe particulier : Elle a les oreilles percées, trois piercings à chaque oreille. Elle en a également un au nombril, qui ne se voit que lorsque la jeune femme est en maillot de bain, puisqu’elle ne porte presque jamais de vêtements trop courts qui laissent voir son ventre. Si on observe bien son poignet droit, on y devine une fine cicatrice tout autour de celui-ci, souvenir d’une adolescence plutôt tourmentée dont elle est heureusement parvenue à se sortir.

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Caractère : Calme et posée en temps normal, Lizzie possède toutefois un tempérament de feu. Très vive, elle a besoin de sa dose quotidienne de sport pour se sentir bien dans sa peau. Elle est d’un tempérament social et n’éprouve pas de problèmes à aller vers les autres, sans pour autant devenir un véritable pot de colle dont on ne peut plus se défaire. Elle est d’ailleurs quelque peu solitaire, bien que la compagnie ne la dérange pas lorsqu’elle est agréable. Discrète en ce qui concerne son enfance, elle peut se refermer comme une huître si on insiste trop sur ce sujet, et envoyer paître sans plus de cérémonie ses interlocuteurs, perdant dans ces cas là toute diplomatie. En temps normal, c’est une jeune femme souriante et déterminée, voire très têtue quand elle s’y met, bien décidée à laisser son passé derrière elle. Bien que franche et naturelle, elle est malgré tout timide lorsqu’il s’agit d’amour, et a plutôt tendance à tout refouler plutôt que de s’avouer qu’elle est capable de tomber amoureuse de quelqu’un.

Aime : Sans hésiter, elle vous répondra le sport. Viendra ensuite la nature. Plus jeune, elle adorait apprendre les langues, notamment l’anglais lorsqu’elle vivait en France, et le français lorsqu’elle déménagea en Angleterre par la suite. Côté musique, le Rock reste ce qu’elle écoute le plus, bien qu’elle ne soit pas bien difficile de ce côté là. Gourmande, elle raffole du chocolat noir. Elle aime également la peinture et le dessin en général, bien qu’elle n’ait pas de dons particuliers pour ces deux activités. Elle apprécie aussi de faire la cuisine.
Aime pas : Elle n’aime pas le café, ni le thé. Elle supporte difficilement la vue du sang, bien que ce trouble ait été grandement guéri par ses années de thérapie chez un psychologue durant son adolescence. Elle ne supporte pas non plus la fumée de cigarette et ne boit jamais d’alcool, qu’elle ne tient pas, de toute manière.
Talents : Elle n’en n’a pas en particulier. Elle faisait partie de la chorale de son collège, donc parvient à chanter juste dans trop de difficultés.

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Famille : Une mère française, Christina, et un père anglais, Jonathan, morts tous les deux aujourd’hui. Egalement un frère aîné, Kevin, qui vit en Angleterre et dont elle est très proche.
Amis : Un meilleur ami, Matthew, vivant lui aussi en Angleterre. En France, elle n’est réellement proche de personne. Elle apprécie également son psychologue qui l’a suivie pendant sa jeunesse.
Amours : Malgré quelques flirts durant ses études, elle est plutôt timide en ce qui concerne ce genre de choses et n’a actuellement personne.

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Poste : Professeur d'Anglais
Profession exercée auparavant : Professeur d'Anglais en Angleterre
Diplômes? Qualification? : Elle a étudié pendant trois ans la psychologie, avant de se tourner vers des études de Lettres en Anglais.

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Histoire : Elizabeth est née dans le sud-ouest de la France par une chaude journée du mois de juin, il y a de cela 26 ans. L’on se demande, aujourd’hui encore, comment deux êtres aussi spéciaux que ses parents purent tomber amoureux et concevoir deux enfants. Jonathan avait une vingtaine d’années et était en vacances dans la région. Christina, qui en avait 19, y vivait depuis sa naissance. Le récit de leur rencontre ne fut jamais raconté à Lizzie, qui n’avait jamais cherché à le connaître, en réalité. Depuis de longues années, Christina souffrait du syndrome de Renfield. Jonathan, quant à lui, avait quelques tendances à l’anxiété, mais cela n’avait jamais mis sa vie ou celle de son entourage en danger. Fait étrange, leurs enfants naquirent sans aucune pathologie. Il sembla que les deux jeunes gens se soutenaient mutuellement, étaient comme un pilier apportant la stabilité à l’autre. C’est ce que pense encore aujourd’hui Elizabeth. Si ce fut réellement le cas, cela ne dura malheureusement que pendant les dix premières années de leur vie commune. Dire qu’ils ont « fait les choses très rapidement » n’est pas une exagération. A peine six mois après leur rencontre, Kevin naquit, suivit trois ans après par Elizabeth. Les deux enfants grandirent en France avec un certain équilibre. Peut-être le fait d’avoir des enfants avait-il permis aux parents d’être plus stables psychologiquement.

Pourtant, lorsque Lizzie eut dix ans, Christina fit une sorte de rechute. Sa fille était tombée dans le jardin et s’était écorché les mains sur les cailloux. Tout en nettoyant les plaies de son enfant, la vue du sang la fascina, comme du temps où elle était adolescente. Commença alors sa lente descente dans les enfers. Le besoin de voir du sang devint plus fort, la tentation d’en goûter à nouveau s’accrût. Une fois, rien qu’une fois, se disait-elle.. Si bien qu’un jour, alors que son mari et ses enfants étaient dans le jardin, elle prit un couteau de cuisine et entailla lentement la paume de sa main, goûtant avec délice le sang qui en coulait. Cela devint une habitude, un rituel, puis finalement, une obsession. Chaque jour, elle s’entaillait la peau pour pouvoir goûter son propre sang, tout cela en se cachant pour ne pas que sa famille l’apprenne. Pourtant, un jour, une porte claqua dans la maison au moment où elle approchait le couteau de sa peau, et, surprise par cette interruption, la lame glissa et lui ouvrit les veines du poignet. Bien trop fière et peureuse pour appeler à l’aide, elle ne bougea pas, continuant de lécher sans jamais s’arrêter le sang qui coulait à flots. Des heures plus tard, ce fut Lizzie qui la découvrit dans la pièce, allongée dans une mare rouge, immobile et froide, un sourire de satisfaction presque dément aux lèvres.

Pour la famille Byrne, la descente dans les bas-fonds continua. Jonathan, affecté par la mort de sa femme, et conscient que Lizzie ne supportait plus cette maison où le fantôme de sa mère la hantait perpétuellement, décida de déménager et de retourner vivre en Angleterre. Là-bas, la jeune fille fut suivie par un psychologue et ce durant de nombreuses années. Kevin, bien que lui aussi très affecté par tout ce qui leur arrivait, tenait néanmoins le coup pour soutenir sa sœur cadette. Le sport et les études devinrent un refuge pour la jeune fille qui y passait tout son temps libre, cela lui permettant de ne penser à rien d’autre. Leur père recommença ses crises d’anxiété, qui devinrent par la suite des crises d’hystérie, qu’il tenta de calmer grâce à l’alcool. Il était de moins en moins présent à la maison, et le frère et la sœur étaient de plus en plus livrés à eux-mêmes. Lorsque Lizzie eut quinze ans, qu’elle commençait à se sentir mieux et se détacher de tout cela, leur père mourut dans un accident de voiture en revenant d’une soirée trop arrosée. Heureusement pour Elizabeth, son frère venait tout juste d’être majeur, ce dernier eut sa garde. Les séances chez le psychologue reprirent. Pas assez sûrement, car la jeune fille tenta de se mutiler le poignet quelques mois plus tard, nouant un fil de nylon à son poignet et serrant de plus en plus. Pas pour mourir, simplement pour avoir mal. Essayer de souffrir physiquement pour que son esprit oublie la douleur abstraite de la perte de ses deux parents.

Les années passèrent. Grâce à son frère, son meilleur ami et son psychologue, elle parvint à se détacher de ce passé qui la hantait chaque nuit. Après le lycée, elle suivit des études de psychologie pendant trois ans, avant de finalement les abandonner, jugeant cela plus sain pour elle. Cela n’aurait fait que lui rappeler son passé, ce dont elle n’avait aucune envie. Elle se dirigea alors vers la littérature et les langues, matières qu’elle appréciait beaucoup durant son adolescence, si tant était qu’on pût aimer quelque chose durant les épreuves qu’elle avait endurées. Une fois ses études d’Anglais finies, elle y enseigna pendant un an puis revint en France et s’installa en Bretagne, où elle apprit qu’un poste de professeur d’Anglais était libre à Teikiatsu, dont elle avait déjà entendu parler aux informations. Elle trouva que c’était une bonne opportunité, ayant de bonnes bases en ce qui concernait la psychologie, elle saurait donc à peu près comment s’y prendre dans cet établissement. Parfois aujourd’hui encore, il lui arrive de repasser par certaines phases de déprime. Dans ces cas là, elle reprend contact avec son psychologue qui est devenu un ami avec le temps, et les « crises » passent bien vite. Heureusement, plus le temps passe, plus elles sont rares. Aujourd’hui, Elizabeth n’a qu’une envie : Vivre.
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Scarlet Soleil Mondies
Surveillant / Gardien
Scarlet Soleil Mondies


Nombre de messages : 57
Date d'inscription : 24/02/2006

Elizabeth Byrne Empty
MessageSujet: Re: Elizabeth Byrne   Elizabeth Byrne EmptyLun 15 Mai à 20:27

C'ets bon, validé

Bon rp happy
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Elizabeth Byrne
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