((bon bahhh! Puisque je sais pas où aller, pourquoi pas xD Je squatt))
La forêt était sinistre la nuit, tant d’ombre, tant de trompe l’œil dans un endroit où l’obscurité s’amusait à effrayer le plus téméraire. Une profonde forêt pourtant qui pouvait paraître autant rassurante que menaçante et autant silencieuse que bruyante. Un instant, un silence, un hululement de chouette, un bruit de pas de petits animaux de la nuit. La forêt avait son règne qu’il fallait respecter.
Et pourtant dans cette forêt qui était normalement déserte, se trouvait un homme bien étranger à tout les changement de la nuit, qui fumait tranquillement en marchant comme-ci il connaissait l’endroit. Et cependant, ce fumeur invétéré du nom de Daniel, n’avait jamais mit les pieds ici, d’ailleurs il n’était jamais venu dans ce coin du continent. Mais le grand sourire qu’il avait sur les lèvres montraient son amusent fou à être au milieu de nulle part et qu’il ne se pensait pas perdu.
Pour dire vrai, un taxi l’avait conduit ici, mais, le jeune homme lui avait demandé de conduire ses valises à l’établissement et que lui il irait à pied. On avait beau eut le prévenir que l’endroit était dangereux, qu’il allait faire nuit, et que ne connaissant pas l’endroit, il risquait de se perdre, cela avait fait rire le châtain qui doucement avait embrasser son chauffeur payant d’avance en nature (et je parle d’argent --), et il était sortit de la voiture, les main dans les poche de sa veste blanche, son jean bleu foncé, sa chemise jaune canari à moitié ouverte à peine maintenu par une cravate rose fluo qu’il n’avait pas attaché entièrement. Ce personnage quelque peu spécial avait un prénom avec une aile et un nom avec deux, le garçon aux trois ailes.
Le taximan avait bien essayé de lui dire qu’il n’y avait pas d’entrée par ici, c’était trop tard, Daniel avait pénétré dans l’épaisse forêt du coté de la route. C’était avec un plaisir évidement qu’il respirait l’extérieur, les senteurs de bois, d’herbe, et de terre humide, laissant la nuit tomber et recouvrir de nouvelle couleur l’endroit, mais pas le moins du monde l’homme ne sembla effrayé ou ennuyé, la question aurait pu se poser de savoir comment Daniel savait qu’il allait droit dans cette foret … La réponse était simple, il ne le savait pas. Il en était sur, et cette perception des choses, bien que tout à fait dangereuse, lui faisait parcourir des milles.
Soudainement il tomba sur une longue barrière, grande, très bien maintenu, avec de nombreux piques. Les yeux de Daniel se levèrent simplement étonnés mais pas plus ça, et un sourire carnassier s’afficha sur lui. Reculant simplement, il monta sur un arbre avec l’agilité d’un singe. C’est que pour le voleur qu’il était, un arbre n’était qu’un moyen comme un autre d’accéder aux hauteurs. Marchant sur une grosses branches tel un funambule, il arriva sauta soudainement d’un mètre en avant, tomba de trois mètres de hauteur. Le choc ne fut pas pour autant difficile alors qu’il atterrissait sur ses deux pieds de l’autre coté, avant de poser un genou à terre sous le choc. Rho, tu t’es taché ! -- c’est pas la fin du monde
L’homme resta assit sagement par terre, se relevant brutalement sans s’être rendu compte que 5 minutes c’était passé depuis qu’il était tombé. Il regarda le ciel, caché par des arbres presque complètement. Il faisait nuit. * J’n’aime pas l’obscurité !-- pourtant c’est bien**
Tranquillement, il marcha et au fur et à mesure, la végétation devenait moins dense, et les endroit plus entretenu. Ce fut alors, que dans un rayon de lune, il vit le corps d’une personne sur l’herbe humide. Et un grand sourire amusé alla sur les traits de l’homme aux trois ailes mais qui aurait pu savoir s’il était vraiment amusé ? Façon un rien lui plaisait. Et d’un pas rapide, il alla vers le corps d’une jeune fille aux longs cheveux allongé dans l’herbe. *** c’est normal ça ?***
A son avis ça ne l’était pas, ou alors il aurait deux voir trois mots à dire au directeur. Il bougea légèrement le bout de son nez, si d’intense réflexion entre ses voix. Quand il était petit, devant les films de ma sorcière bien aimée, il s’était entraîné durement à le faire. Le nez se stoppa. Et il enleva sa veste blanche.
Doucement avec une délicatesse infime, il s’approcha un peu plus d’elle, s’abaissant à son coté. Mais il ne parla pas, attendant calmement, ses yeux d’or fixés sur ceux de la jeune fille. Et il déposa doucement son manteau sur le corps.
« Bonsoir ! »