Au détour d'une clairière.[libre]

==>chambre des garçons.

Siegfried arriva, à force de déambulations, non loin d'une clairière où les rayons du soleil valsaient entre les feuilles, le vent chaud de l'après-midi réchauffait l'atmosphère et appyué sa mélancolie, il avait une sensation de vide intense, face à cette forêt enchanteresse.
Il s'enfonçait de plus en plus dans ces bois, s'éloignant à son insu du parc non loin de là.

*C'est magnifique...*

Il ne pouvait s'empêcher de repenser à son pays natal, de vieux souvenirs le traversant, que de bons, les mauvais scellés au plus profond de son coeur.

*Je me demande comment elles vont?*

Il voulait bien évidemment parler de ses deux mères, lui qui essayait chaque jour un peu plus d'enfermer son enfance dans son coeur, se retrouvait face à ce paysage de nature, un peu nostalgique et assailli de souvenirs insignifiants, d'espoir.
Sieg ne savait pas vraiment quoi faire, il savait qu'il devrait reprendre l'école ici, mais il n'avait pas réellement envie d'y penser.
Ses divagations continuèrent jusqu'à ce qu'il vienne se laisser tomber le long d'un tronc massif.
Arrivé à terre, il ramena ses genoux contre son torse.

*A quoi ça sert tout ça?*

Toute la peine qui envahissait son coeur commençait à le ronger petit à petit, mais ce qu'il ne comprenait vraiment pas, c'était pourquoi il était si mal alors qu'il n'avait rien de douloureux de souvenir, bien sûr sa vie ne fut pas toujours rose, mais ni plus ni moins que tout le monde.
Seul son ignorance de sa propre vie expliquait cette douleur.

=> chambre des filles
Sara marchait tranquillement, elle qui était tellement près de la nature avait décider de visiter la forêt. Ses parents commençaient à lui manquer mais elle préfèrait ne pas y penser. Si elle commençait déjà à se morfondre dès son arrivée, c'était peine perdue pour sa guérison. Sara s'était toujours die que ce n'était qu'un petit malaise ce qui lui arrivait, rien de grave. Elle ne voulait pas non plus prendre de médicaments, elle pourrait se contrôler seule, elle le savait.
Les yeux de la jeune fille sintillèrent lorsqu'elle apperçut quelqu'un assis. Enfin, elle avait chercher partout mais n'avait trouvé aucun habitant de ce bel asile violet. Elle se dirigea vers lui, esseyant de contenir sa joie. Sa robe blanche voletait doucement au gré du vent suivis de ses cheveux blonds. Elle replaça une ou deux mèches de ses cheveux qui se rebellèrent de nouveau quelques secondes plus tard. Elle alla à côté du garçon et lui tendit doucement sa main avec un sourir paisible et chaleureux.
"Bonjour, je m'apelle Sara Smith."
Dit-elle d'une voix douce et crystalline, ses yeux pétillants de joie. Sara était une fille très sociable qui adorait être en contact avec les gens. Par ailleur, elle était très douée pour faire partir leurs peines ou qu'ils les oublient pendant un instant. La jeune fille inspirait la joie par sa présence. Sa petite stature, son air un peu enfantin lui donnait l'air d'un petit ange. Malgré le fait qu'elle avait tout de même 15 ans, seul ses courbes féminines et sa maturitées laissait croire qu'elle était plus agée. Elle fixait le jeune homme de ses grands yeux verts avec un sourir casiment perpétuel sur ses lèvres. Elle ne se voulait pas agassante par sa joie, seulement réconfortante.

Siegfried fut rejoint par une douce présence plus que surprenante pour notre jeune garçon.

*Une fille? Parce qu'il y a aussi des filles ici?*

A bien y réfléchir, il ne savait même pas les différentes clauses de ce contrat, à savoir que l'endroit s'avèrait être un asile étroitement gardé, encore moi.

*Mon dieu mais quel genre d'endroit est-ce?*

Sieg se releva et vint serrer la main qu'il lui tendait.
Il fut très troublé par ce contact, un adolescent, ça faisait deux ans qu'il n'en avait pas vu.

"Bonjour, moi je m'appelle Siegfried Elric."

Vint malheureusement la tragique panne d'idées de dialogue... Mais après deux ans de dialogue réduit au minimum à des bonjour et merci, si une question lui arrivait à l'esprit, ce serait un réel exploit, il tenta tout de même.

"Il fait beau aujourd'hui, n'est-ce pas?"

Il commença à jouer légèrement avec les articulations de ses doigts, puis vint poser une de ses mains sur le tronc de l'arbre auqel il s'était appuyé, et fit glisser ses doigts sur le bois.

"Elle est vraiment formidable cette forêt."

Il lui avait répondu sans vraiment la regarder, concentré sur les différents chemins que prenaient ses doigts, tout dans cette forêt lui inspirait la nostalgie, sa proximité de la nature surement.

La jeune fille eut un large sourir. Elle entrecroisa ses doigt ensemble et fit un petit "oui" timide de la tête. Malheureusement, le jeune homme ne la regardait déjà plus, elle supposa donc qu'il ne l'avait pas vue acquiesser. Les joues de Sara rosirent, il semblait lui aussi gêné, elle tenterait tant bien que mal de le débloquer.

"Oui, c'est un temps magnifique. J'adore l'été."

Dit-elle d'une voix douce. Sara savait décortiquer un peu la personnalitée des gens. L'avantage d'avoir un père psychiatre. Elle vit alors que le jeune homme SiegFried, ne semblait pas du tout à l'aise avec le contact humain. Sara était heureuse d'être arrivée dans cette asile, lorsque sa maladie ne ferait pas surface, elle pourrait esseyer d'aider les gens autour d'elle.

"J'adore la forêt. Quand j'était plus jeune, moi et mon frère allions nous promener dans les bois pour trouver des licornes."

Elle évoqua ce souvenir avec une légère nostalgie, sans pour autant plonger dans ses souvenirs. Ses yeux scintillère lorsqu'elle parla de son frère, comme elle l'aimait. C'était fou. Mais elle ne devait pas recommencer à penser à lui maintenant. Elle se trouvait seule avec un garçon et si il revenait, elle avait peur de ce que cela pourrait enngendrer.

"Tu veut te promener?"

Dit-elle d'un ton heureux, elle n,aimait pas erster plantée au même endroit. Ça la gênait encore plus, ainsi si ils marchaient ils auraient quelque chose à faier en commun. De plus, les clairrières semblaient si belles et accueillantes.

A la demande de Sara, Sieg acquiesça et commença à divaguer accompagné de l'adolescente.
Siegfried portait un regard très curieux sur n'importe quoi, pire qu'un enfant de trois ans, il s'émerveillait des moineaux, des branchages, des arbres, des fleurs.. Mauves.. Bref, de tout ce qui lui passait sous les yeux.

"Tu es ici depuis longtemps? Moi, je suis arrivé aujourd'ui."

Comparé à ce qu'il redoutait, il se sentait plutôt à l'aise avec Sara, il avait beaucoup moins d'appréhension à parler avec une demoiselle qu'avec un adolescent.
Le plus troublant était surtout qu'il arrivait à parler, lui qui parlait peu, voir pas du tout.
L'air était doux et en même temps chaleureux, ils évoluaient tranquillement dans ce décor de cage doré.
Siegfried avait ramené ses mains dans son dos, et pensa doucement aux aux paysages lointains de son enfance.
Il préférait bien plus les balades en forêt que de se retrouver face à une grande étendue d'eau tel un lac ou pire, la mer.

Sara marchait doucement près de Siegfried avec un légers sourir. L'air doux lui caressant sa peau délicate. Comme elle aimait la forêt et la présence du jeune homme ne lui était pas du tout désagréable. Elle eut un légers sourir et parrut un peut gênée. Il avait l'air d'un enfant, s'émervaillant devant tout ce qui passait devant lui. ELle eut un petit rire gêné, nerveux un peu.

"Je viens d'arriver aussi. Tu voit, le mauve c'est pas vraiment ma couleur, je préfère la forêt."

Dit-elle avec une pointe d'humour en lançant un regard à Siegfried toujours aussi souriante qu'a l'habitude. Elle se demandait vraiment quel problème il pouvait bien avoir, il avait l'air tout à fait normal pourtant. Elle décida de ne pas poser la question. Ça pourrait parraitre étrange de demander "Hey! C'est quoi ta maladie mantale?" Enfin, elle savait que ce n'était pas une très bonne approche. Elle oublia l'idée, si il essairait de la tuer, elle devinerait. Sara eut un petit rictus en passant à ceci et mit sa main devant sa bouche lorsqu'elle remarqua ce qu'elle venait de faire.

"Je... je suis désolée je ne riait pas de toit c'est que... je.. pensait à quelque chose de drôle!"

Ce qui était tout à fait vrai. Elle le regarda, gênée de la situation, ne voulant pas avoir l'air de délirer toute seule, ce qui aurait été tout à fait normal vue l'endroit où elle se trouvait.

L'esprit de Sara était partie bien loin d'ici, se demandant ce que son père et sa mère faisaient. Elle voletait au dessus d'eux et regardait son père se balader dans l'hôpital psychiatrique où il travaillait et sa mère pleurer sur le sort de sa fille et de son fils. La voix douce et posée de Sieg la rammena sur terre, sans qu'elle ne l'ai vraiment voulu, mais c'était mieux ainsi. Il aurait surement cru qu'elle c'était désintéressée de lui ce qui était totallement faux. Même s'il ne parlait pas beaucoup, Sara le trouvait intéressant. Elle se retourna vers lui et retourna vite son visage pour savoir où elle mettait les pieds.

"Euh... bah je dirais... Bleu comme l'océan et beige comme le sable."

Dit-elle après une mûre réfelxion. Elle aiamit presques toutes les couleurs, mais préfèrait celle qui lui faisait penser à un paysage. Elle pencha un peu la tête de côté, elle sentait la pelouze craquer sous ses petits pieds. Sa petite taille laissait croire qu'elle était beaucoup plus jeune qu'elle ne l'était vraiment, mais sa voix mûre faisait bien son âge, c'était un espèce d'équilibre. Elle se gratta le derrière de la tête, faisant volleter ses cheveux blonds dans les airs, au gré du vent.

"J'adore les plages, la mer, l'océan. Mon père m'a promis de m'y ammener lorsque je sortirai d'ici."

Dit-elle d'une voix un peu plus faible. Elle espèrait sortir d'ici en fait, Mais les fréquences de ses hallucinations dépendait des évênements. Enfin... Sara continuait à espèrer que tout se passe bien et qu'elle sorte bien tôt d'ici. Elle fit un petit sourire timide à Sieg, sans aucune raison, il l'intimidait, plus grand qu'elle, songeur.

Attention vous deux, il faut faire 20 lignes complètes

[Super désolé pour le retard, quand j'ai vu vingt lignes j'ai paniqué et après, j'ai oublié.. Mille fois pardons.. mais j'ai énormément de choses à faire de partout donc désolé..]

Siegfried écouta docilement les paroles de la douce et jeune Sara.
Ses paroles était telles une berceuse, pouvoir hypnotique incroyable.
Elles lui donnaient envie de dormir.
Une si grande envie de dormir que si elle lui avait parlé davantage, il aurait totalement décorché.

Les comparaisons à laquelles elle faisait allusion étaient vraiment pures et faisait sourire Sieg.
Mais la suite de ses propos intrigua Siegfried:

"Mais tu n'es pas ici de ton plein gré?"



Quand il y réfléchissait, il n'était pas là non plus par pur plaisir, mais il ne pensait pas que ce fut le cas de tout le monde.
Il lui vint alors à l'idée de poser la question à la demoiselle accompagnant sa sortie.

"Sara, C'est quoi comme sorte d'établissement?"

Cette question aurait pu paraître comme une mauvaise blague mais il était tout autre, c'était très sérieux, le visage de Sissi affichait d'ailleurs une expression sévère.
Il paraissait presqu'effrayant..
Siegfried resta dans cette position solenelle encore quelques secondes avant d'essayer de penser à toute autre chose.
Il lança ensuite des regards furtifs et inquiets à Sara.
Toute une ritournelle de questions se précipitaient dans sa tête.
Questions qui restaient sans réponses.

Il lança un ultime coup d'oeil à la demoiselle.
Ses mains légèrement en retrait de sa tête, il s'était accroupi pour se permettre de réfléchir un peu.
"Excuse-moi, je m'emporte un peu vite."

Il ne voulait pas se laisser cèder à la panique, ni inquièter Sara.
L'adolescent fit donc un petit sourire un peu forcé pour venir lui dire:

"Ne t'inquiètes pas pour moi."

Il était peut-être un peu égoïste sur les bords, mais au moins il réagissait bien c'était déjà cela.

Le jeune homme semblait soudain très inquièt, et Sara ne sut pas vraiment comment réagire sur le coup. Elle regarda un instant autour d'elle, il avait besoin d'être réconforté mais paraissait si distant, que faire? Elle leva tranquillement une main incertaine qu'elle posa doucement sur l'épaule de Sieg. Il aurait pu ne pas la sentir tellement elle avait été posée avec légèreté, ne voulant pas trop troubler le jeune homme. La main de Sara n'était qu'une petite main d'enfant, délicate, incertaine et pourtant réconfortante, douce et chaude.
La jeune fille se mordit la lèvre inférieure et descendit tranquillement sa main vers le bras du jeune homme, ne sachant pas trop quoi dire, pour la première fois. Elle plongea doucement son regard doux et compatissant dans celui de Sieg avec un légers sourire. Les deux jeunes gens avaient arrêter de marcher et ils avaient finallement eu un contact humain pour une fois. Même s'il sembla à Juliette qu'ils étaient seuls au monde. Elle ouvrit doucement la bouche, choisissant avec attention chaque mot qu'elle prononcerait.
"Nous... nous sommes dans un établissement psychiatrique. Je ne suis pas ici pour le plaisir, bien entendue... mais je doit t'avouer que... j'aurais pu devenir dangereuse chez moi..."
Dit-elle un peu mal-à-l'aise pour la première fois de sa vie. Il était difficile d'avouer à quelqu'un qu'on pouvait tuer n'importequi sans vraiment en avoir confiance, comme elle l'aavit fait avec le chien, un membre important de la famille. Sa main se glissa avec hésitation dans celle de Sieg, cherchant à avoir un contact avec la réalitée, quoi qu'il lui sembla qu'elle sombrait dans un monde iréelle.
"J'aurait préféré rester chez moi... mais j'ai compris que mes parents ne pouvaient pas me garder avec eux... c'était trop dangereux."
Elle? Capable de commettre un meurtre? C'était casiment incroyable à la voir agir aussi doucement avec tant de délicatesse et ce petit sourire angélique sur ses lèvres.
"Mais... si tu ne savait pas c'était quel genre d'établissement, toi, que fait-tu ici?"
Demanda Sara un peu perdue dans les évênements. Que fesaient-il ici? Comment avait-il été admis? Était-il vraiment atteint d'une maladie mentale? Elle aurait voulu lui poser un million de question en même temps mais préféra rester muette. Elle pourrait l'éffrayer et c'était loin d'être son but. Sara ne voulait que le mettre en confiance. Ses yeux se perdirent dans ceux de Sieg sans qu'elle ne le réalise vraiment. Il avait une telle profondeur d'âme qu'elle s'y plongea tête première sans qu'elle ne puisse s'en sortir.

[c'est encore un topic libre?]

[appartement de Mieko Kimura]

Mieko ebtra dans la petite clairière si calme. Les oiseaux chantaient en volant en couple et il y avait de belle fleurs de toutes les couleurs un peu partout. Ca sentait l'amour dans l'air. Mais pas pour Mieko qui était encore célibataire et donc marchait toute seule.

C'était si bon de se promener dans une clairière comme celle là! Elle aimait beaucoup les bois dans cette période de l'anné.

Puis elle entendit des voix, tristes et réconfortentes en même temps. Elle ne comprit pas ce qu'elles disaient mais c'était sérieux et très nostalgique. Elle s'aprocha un peu sans se faire voir et vis alors les deux jeunes gens adossés contre un arbre.

*C'est sûrement un couple. Deux jeunes amoureux flirtant dans une clairière, c'est d'un romantique. Je fairais peut être mieux de ne pas les dérenger... mais les espionner?*

Elle se cacha derrière un buisson d'où elle pouvait voir sans être vu. Puis une vieille pensé renvint à elle, celle qu'elle voudrait oublier mais la garder aussi...

* Deux amoureux... Ryoichi... Pourquoi ai je refusé? J'ai été une vrai sotte d'avoir dis non. Il était si gentil et je l'aimais pourtant. On aurait fait un beau couple... Mais il est trop tard maintenant, il est mort et nous ne nous reverrons jamais...*

Dans ses pensés elle remarqua pas qu'elle se penchait un peu de trop et qu'on voyait une de ses couettes. Peut être qu'ils ne la verront pas, mais si ils la voyaient qu'est ce qu'elle pourra dire. Qu'elle espionnait les couples comme les voyeurs ou les gamins de dix ans. Ca ne se fait pas, du moins je crois.

Puis elle remarqua soudainement que l'on pouvait la voir et recula maladroitement en arrière. Ne vpyant pas où elle allait elle tribucha sur une branche et tomba par terre l'air idiote. Elle se salit, elle détestait ça! Elle se releva rapidement et couru sortir de la clairière avant qu'ils ne puissent bien la voir.

[Ailleurs, je ne sais pas encore où]